Je n’ai pas de mot face à tant de beauté et tant de perfection, j’ai rarement pris une claque aussi immense.
Fresque immense sur l’Italie du 20eme siècle dépeignant la Lutte ouvrière et la montée du fascisme en Italie, le tout dépeint à travers la magnifique histoire d’amitié d’Alfredo et Olmo, interprétés à merveille par un duo De Niro/Depardieu impressionnant. La mise en scène de Bertolucci est d’une telle maîtrise.. puis la photographie est une des plus belle que j’ai…
Ce qui me fascine dans les films de Federico Fellini c’est qu’ils représentent pour moi l’essence même du cinéma, de par la façon du réalisateur de lier la maîtrise et la liberté. Il m’a rarement été donné de voir des films qui dégagent une telle ion de l’art, Fellini fait sentir qu’il fait ça par ion mais en même temps qu’il a envie de proposer une œuvre parfaite, et il le réussis à merveille.
A travers l’histoire…
A l’occasion de l’anniversaire d’un de mes réalisateur favoris, quoi de mieux qu’un rewatch de ce film qui malgré que je l’ai adorer, m’a laissé le sentiment d’être é à côté du chef d’œuvre dont tout le monde parle, et effectivement j’étais bel et bien é à côté de quelque chose d’extraordinaire puisque Once Upon a Time in The West est un pur chef d’œuvre.
Sergio Leone avec cet immense western entame sa trilogie du temps, en…
Les images valent mieux que les mots donc irez juste: https://twitter.com/klaprst/status/1368337153621639169?s=21
Le dernier Pasolini qu’il me restait à voir et j’avoue avoir eu peur d’être déçu, mais non cette découverte s’achève en beauté, commencée en décembre 2020 sur le chef d’œuvre Salò, ou les 120 journées de sodome et finis la ce soir sur l’excellent Arabian Nights.
Pasolini reprend évidemment la forme des deux précédents films de la trilogie de la vie, c’est à dire des contes s’entremêlent entre eux en adaptant ici Les milles et une…
Dans La Dolce Vita, Fellini dressait un portrait de la société bourgeoise et aristocratique italienne, sans aucune narration au travers de la vie d’un journaliste. Dans Amarcord il dresse un portrait, cette fois ci dans la caricature la plus totale tombant par moment dans l’absurde et le comique, de la société italienne d’avant guerre, et critique la montée du fascisme lors du régime de Mussolini. La narration est ici encore plus complexe que dans le premier film…