L’ivresse consécutive à la glorieuse soirée du 31 mai 2025, mêlée à la chaleur francilienne actuelle, ne me permet pas de réfléchir froidement au sens de l’abstraction du cinéma de Dupieux. Je n’arriverai pas à réfléchir à la figure spectatorale du personnage d’Haenel. Je ne parviendrai pas à prendre du recul sur la mutation d’une mise en scène comique vers une mise en scène inquiétante. J’aurais bien trop de mal à penser la place d’un tel cinéma dans l’industrie actuelle.
J’arriverai à déployer mes dernières forces pour crier le talent de Dujardin. Il est l’acteur de comédie parfait.