Flame of My Love

1949

Gaetan
★★★★ Watched by Gaetan

Mizoguchi restitue tellement bien le réel à l’écran par ses plans séquences… on sent les personnages se mouvoir dans l’espace et je dirais même qu’on arrive à percevoir ce qui anime les personnages, ce qu’ils ressentent

Ça y est j’ai découvert une partie de la filmo de Mizoguchi d’avant-guerre et dans l’immédiat après-guerre, maintenant je vais revoir ses films des années 50 et prendre un plaisir de fou comment j’ai hâte bordel

Evangelion: 3.0 You Can (Not) Redo

2012

Gaetan
★★½ Watched by Gaetan

L’animation ne dégage aucun charme, Anno ne prend même pas la peine de recontextualiser, j’ai pas compris grand chose et j’ai pas eu envie de comprendre, et surtout je vois pas l’intérêt de réaliser ce film, même si j’ai légèrement changé d’avis sur la fin

Sound of the Mountain

1954

Gaetan
★★★★★ Liked 1

En larmes pendant la majeure partie du film c’est tellement immense

Every-Night Dreams

1933

Gaetan
★★★½ 10

C’est très bien les zoom sur les visages mais trop utilisé ça a plus la meme puissance émotionnelle, sinon bon film sur l’impuissance d’un couple face à la misère

Asako I & II

2018

Gaetan
★★★★½ Liked 1

Et si c’était le plus grand Hamaguchi ?

Mr. Thank You

1936

Gaetan
★★★★ Watched by Gaetan

Shimizu c’est vraiment le plus grand cinéaste japonais d’avant-guerre avec Mizoguchi

Japanese Girls at the Harbor

1933

Gaetan
★★★½ 3

A revoir parce que je dormais à moitié mais c’est fort

The Other Woman

1961

Gaetan
★★★½ 1

Malgré pas mal de défauts au niveau du scénario (flashbacks inutiles, révélations abruptes notamment sur la fin) c’est un bon mélodrame même si très loin des meilleurs Naruse

Summer Clouds

1958

Gaetan
★★★★ Liked 2

Je reprends Naruse un an après ça m’avait manqué

The Wind Rises

2013

Gaetan
★★★★½ Liked Watched by Gaetan

Je veux qu’une femme me regarde comme Naoko regarde Jiro

Lumberjack the Monster

2023

Tristan
★★★ Watched by Tristan

Il y a un film de Takashi Miike qui vient de sortir dans le néant le plus total sur Netflix : Lumberjack the Monster.

Le retour pour Miike à quelque chose de plus viscéral, de plus clinique. Une sorte d'introspection de lui même sur son rapport à la violence et sur l'individu. Peut-être pas son meilleur, parfois trop bavard, mais très ludique et rempli de belles choses — dont ce superbe manoir au sous sol terrifiant.