Le quotidien aliéné chez Haneke

Film mentionné dans l'article ci-t :
Bulletin Ciné | Numéro 6 : Le quotidien au cinéma p.14

Haneke, réalisateur de la boucle

Aussi plat et inoffensif qu’un film A24

Le quotidien aliéné chez Haneke

Film mentionné dans l'article ci-t :
Bulletin Ciné | Numéro 6 : Le quotidien au cinéma p.14

Isabelle Huppert inable au possible

Est-ce que je mets Le Ruban Blanc à hauteur de Funny Games et Amour (Palme d’or également) dans la filmographie de Michael Haneke ? Je sais pas. Par contre, il n’y a aucun débat pour considérer ce film comme une grande œuvre.

Je retrouve mon chère Haneke dans la mise en image glaçante et réfléchi, mais malheureusement la narration ne suit pas. L'adaptation est trop littéraire et la voix off du narrateur vient trop souvent appuyer outre mesure ce qui est vu à l'écran.
On perd en rythme et en sobriété froide qui fait la marque de fabrique et la force du roi

Sûrement un des plus beau films d’amour, c’est aussi déchirant à chaque visionnage.

Comme d’habitude avec Haneke on est prisonnier de son film, sans échappatoires possible, plongé dans un constant malaise.
Merci monsieur.

Isabelle Huppert est mon actrice favorite donc je suis pas surpris de son jeu mais purée il est bon Magimel dit donc.

J’ai pas les mots, je suis dévasté.

Je suis curieux de savoir à quoi ressemblerai une conversation entre Lars von Trier, Michael Haneke et Gaspar Noé. (Ça frôle le 4,5)